Poète amateur
Mes poèmes
Poète amateur depuis 2006
La Poésie. Entre vers, rimes et sonorités douces, retrouvez ici l’ensemble de mes poèmes écrits de 2006 à aujourd’hui sur des sujets divers et variés.
Certains de ces poèmes ont également été mis sous forme de vidéos.
Mon ange, n’aies pas peur, viens avec moi
Approche toi, ais confiance en moi, prend ma main
Tu verras, tu n’auras plus peur mais confiance en toi
Prend donc ma main, avançons jusqu’à demain
Je te soutiens, je suis là, prononce toi
Je t’emmène loin, je te garde pour moi
Affronte les obstacles, ne recule plus
Sèche tes larmes, ne pleure plus
Avance le pas sur, expose ton assurance
Avançons ensemble, saisis pour nous cette chance
Construisons ensemble, aidons nous, aimons nous
Délivrons nous des autres, partons, devenons loup
L’avenir est là, il nous attend
Alors prend ma main, je t’emmène
Quitte ces moments si tranchants
Fais moi confiance, je t’aime
L’envie n’accompagne pas toujours les actes
Il manque toujours quelque chose dans l’inspiration
Que ce soit la motivation, l’émotion, l’ambition ou la perfection
Entre les mots et le stylo il y a toujours un pacte
Un pacte du bien, une obligation d’émotion, de réflexion, de bonheur
Le poète se doit de transporter le lecteur, quelque soit son humeur
Le poète se doit d’exploser en intensité, de consoler en légèreté
D’effrayer, de rassurer, de tout faire apprendre et de tout faire oublier
La mission est dure, la mission est pure
L’homme est formaté, programmé, il faut juste l’électrocuter
Il faut juste le réinitialiser et tout recommencer
Lui apprendre à lire, à écrire et à sourire, juste le rendre mature
Mature comme un enfant, et non comme un coupable
Ne plus lui laisser d’occasion de perversion
Nous nous devons de stopper l’évolution
Nous devons éviter le pire, l’homme en est capable
Autrefois, j’ai connu un dictateur
Il interdisait la joie, l’expression et bonheur
Et ne laissait aucune possibilité, aucune chance
Il était partout, bien qu’il ne soit pas immense
On ne l’appelait jamais, il était toujours là
Il surveillait chacun de nos mots, chacun de nos pas
Il se détruisait pour nous faire grandir
Il nous poussait vers l’avant sans réfléchir
Parfois, il cessait de nous surveiller, de nous contrôler
Il avait fait trop de dégâts, on n’en reviendrait pas
Il savait ce qu’on deviendrait, à cause de lui, sans avoir décider
C’était trop tard, la dernière loi volait en éclat
Enfermé dans une prison nommée société
Il nous avait forcé à grandir, forcé à oublier
Il nous faisait devenir inconscient
Il nous interdisait de rester enfant
Mais moi, il ne m’a jamais eu, jamais attrapé
Je n’ai jamais voulu de cette prison, cette société
Je l’ai toujours rejeté, et rares sont ceux qui ont saisi cette chance
D’échapper à ce dictateur, ce mal nommé conscience
Les mots sont beaux, les mots sont forts, les mots sont d’or
Et dors et déjà l’esprit qui dort se réveille d’un sursaut
Vous fermez les yeux, vous ne dites rien, vous pensez au plus haut
Vous oubliez tout, les hommes, les femmes, la vie, la mort
Je ne vous donne que la recette, le reste, c’est dans la tête
Ce n’est pas juste une pause, mais un instant de survie
Ce n’est pas une illusion, mais un monde dont vous êtes la marionnette
C’est une échappatoire, une sensation vitale, un instant inédit
Comme si une vague puissante vous emportait loin de vous
Comme si vous donniez toute votre confiance contre votre volonté
Et que vous trouviez ça attirant, différent et tellement vrai
Comme si la solution avait toujours été au plus profond de nous
Vous n’êtes plus vivant, vous vous laissez emmener
Votre conscience réinvente un monde, vous vous abandonnez au rêve
Tout devient illogique, tout devient si fort, si puissant d’intensité
Les mots vous noient, vous emportent, et dans le ciel vous élèvent
La lumière vous brûle les paupières, vous sentez le vent vous caresser la peau
Votre cœur s’emballe, vous frissonnez, vous tremblez et enfin, vous sombrez
Ce sont les étoiles qui vous atteignent et le soleil qui vous couvre de son manteau
Ne sautez pas les étapes, profitez de l’instant, doucement, je vois déjà la Lune s’approcher
Mais attention, n’allez pas trop haut, vous risqueriez d’aimer, vous risqueriez d’y rester
Souvenez vous de chaque instants, retenez chaque sensations, puis, reprenez votre respiration
N’ouvrez pas les yeux tout de suite, prenez le temps de deviner, d’imaginer, de vous réveiller
Laissez le soleil vous réanimer, laissez le vent vous éveiller, laissez s’échapper vos émotions
Lorsque vous serez en état de marcher, courrez, ne vous retournez pas
Fuyez le plus loin possible, votre cœur finira par vous stopper, lâchement, sans alerter
Alors, à cet instant où il cessera de battre, vous comprendrez pourquoi
Vous comprendrez que vous avez rêvé, rêver de réinventer la dure réalité.
Je ne sais pas parler
Je ne sais qu’écrire
Je ne saurais pas me traduire
Je ne saurais que créer
Il est difficile de commencer une histoire
De trouver et placer les bons mots
De briser le silence qui s’installe si vite, si tôt
Je ne contrôle rien, je retranscris, n’allez pas croire
Je suis le porte-parole de ma vie
Je suis le messager de mes sentiments
Je suis le sujet de mes envies
Je suis seulement moi et pas autrement
Mon inspiration est capricieuse
C’est elle qui décide où, quand, comment et pourquoi
Mes secondes sont si précieuses
Et rarement accompagnées d’un stylo au bout de mes doigts
Je suis pour mes mots ce que le corps est pour l’esprit
Une porte que seuls les curieux pousseront
Un portail menant à une sorte de transe, une seconde vie
Un état agréable, sans aucune définition
C’est tout simplement impossible de les décrire
Ces moments là, volés au rêve, à l’enfant
Le moindre détail est important, inconscient
Et comme pour tout, il faut vivre et en sourire
Le poème représente tout ce qu’il y a de bon
L’utopie d’une démocratie spirituelle
Permettant aux rêves de voler de leurs propres ailes
Et donnant à la plus grande folie toute sa raison
On peut tout y faire, tout exprimer
Ses peines, ses joies et ses idées
On peut tout y vivre, tout ressentir
Amour, tristesse, bonheur et rire.
On peut aussi fixer ses règles, proposer sa vision
Perturber, déranger, égarer et faire rêver
Il faut juste laisser en suspend, provoquer l’interrogation
Et enfin, au monde, tout donner et oublier.
Rire est une façon de pleurer
Souffrir est la condition pour aimer
Il faut donc souffrir sans condition
Et pleurer de rire sans façon
Mais si pleurer de rire fait mourir
Arrêtons tout de suite de sourire d’aimer
Car il est stupide de mourir en sourire
Ou bien de souffrir à en aimer
Il ne faut pas rire d’aimer
Mais seulement aimer rire
Alors vous sourirez de rire
Et vous mourrez d’aimer
J’aime vous voir en sourire
Mais j’aimerais en voir mourir
J’aimerais en voir crever
Mais seulement de rire, vous allez aimer
Vous pouvez toujours courir de me voir crever
Vous pouvez toujours crever de me voir courir
Vous pensez à un miroir entrain de réfléchir
Alors arrêtez de réfléchir et pensez
Je n’ai jamais pensé à crever
Je n’ai pas encore crevé de penser
C’est stupide de crever à en mourir
C’est facile de sourire d’un rire
J’aimerais aimer penser à en sourire
Mais je pense bien que vous allez finir par en rire
Je réfléchis à comment mourir d’aimer
Mais dans un sourire, je pense pour finir qu’on ne puisse en crever
Je peux donc courir sans aimer
Je peux donc aimer sans courir
Je veux sourire d’un rire
Je veux aimer à en crever
J’aimerais encore crever de ses sourires
J’aimerais encore sourire de ses rires
Je sourirais à en crever
Je sourirais de ses sourires tant aimés
Je cours vers ses sourires
Je souris d’aimer courir
J’aimerais courir à en crever
Tant que ses rires me font l’aimer
Elle me fait penser à aimer
Elle me fait aimer penser
Elle me fait rire à en sourire
Et dans un sourire vient la pensée de l’aimer
Mais rire à en sourire sans penser à aimer
Rend dans ses sourires l’envie de crever
Et donne à la pensée de mourir
Un sourire réfléchi de l’envie de rire
Pour finir, je voudrais lire dans vos sourires
L’envie d’aimer et d’en crever
Sans réfléchir si dans vos rires
Souffrir reste la seule façon d’aimer
C’est effrayant, ce ne sont que quelques jours
C’est pourtant bien l’impression que depuis toujours
Seulement quelques instants nous séparent
Et rend notre amour si noble, si rare
Tu me manques tellement, si tu savais
Je te rejoindrais sur le champ si je pouvais
J’enroulerais mes bras autour de toi
Et je t’emmènerais là bas
Très loin, là ou seul le cœur fait loi
Là où le mal n’est pas
On ne ferait qu’un, se tenant par la main
S’aimant passionnément et vivant tous nos lendemains
Tu m’as tendu la main, je ne t’oublierai pas
Jamais je n’oserai, jamais je ne pourrai
Je t’aime trop pour ça, tu vois, je suis là
Différente, attachante, passionnante, tu es celle que j’attendais
C’était une journée de vacance ordinaire
Le ciel était gris et les gouttes titubaient de leurs nuages
L’air humide abreuvait la terre
Et le vent agitait les feuilles de son passage
Le silence était au plus haut
La vivacité était au plus bas
Mon esprit n’imaginait aucun mot
Mon cœur ne pensait plus qu’à ça
Et puis tout d’un coup, brisant le silence
Un éclair explosa dans mon esprit
Electrisant mes sentiments en pleine transe
Dispersant mes sens tels des confettis
La plus belle douceur traversa mon être
Je me sentais perdu et partout à la fois
Comme si corps et esprit voulait partir là bas
Là bas … la rejoindre et renaître
Cet éclair avait changé mon air
Maintenant ce sera de son odeur que je vivrai
De sa présence que j’avancerai
Et qu’après un dernier regard d’elle je retournerai à la Terre
Je ne suis plus le même
Je me sens toujours aussi bien
Pourtant il me semble que plus fort est notre lien
C’est sûrement ça, elle me l’a dit … elle même
La lumière de la Lune éclaire ma vie
L’ombre du soleil brûle tous mes tracas, mes ennuis
Il s’est dessiné une silhouette dans l’air que je respire
Une femme est apparue et vers elle j’ai envie de fuir
Je voudrais tant que ce soit Elle
Je voudrais tant la prendre sous mon aile
Je voudrais tant lui offrir ma vie
Je voudrais tant … Ah, elle sourit
J’aimerais tant l’avoir trouvé
J’aimerais tant pour l’éternité l’aimer
J’aimerais tant la voir sourire
J’aimerais tant lui donner mon dernier soupir
J’apprécierais de la tenir par la main
J’apprécierais de faire d’elle tous mes lendemains
J’apprécierais de vivre chaque jours à ses côtés
J’apprécierais que dans mon cœur elle veuille s’enfermer
Je voudrais tant de choses
Je voudrais faire un beau poème
Je voudrais qu’elle me dise « je t’aime »
Je voudrais qu’elle se lance et ose
J’ai l’impression de vivre pour elle
Je suis sur de vivre au conditionnel
Sans cesse je voudrais
Comme un fou je l’aimerais
Un nouveau soleil se lève sur mon horizon
Un souffle frais vient remplir mes poumons
Je ne l’avais pas vu arriver
Et à vrai dire, je n’aurais osé l’imaginer
Mais bon, aujourd’hui c’est en moi
Présent, prenant et réjouissant
Un peu comme un éclair au milieu de l’océan
Un peu comme si le mal n’était plus là
C’est comme une dépendance
Quelque chose qui vous pousse à avancer
Un peu comme si vous rêviez éveillé
Une façon de saisir sa chance
Je voudrais lui dédier la perfection
Je pourrais lui donner toute une nation
Je pourrais tout lui offrir
Et il me serait impossible de la faire souffrir
Oui, je me suis trahi
C’est bien d’elle que je vis
C’est bien d’elle que je rêve
Et tous les matins pour elle je me lève
Tout ceci ne sont que des mots
Et plus sincères sont mes sentiments
Mais voyez vous, je lui laisse du temps
Alors j’évite de m’envoler trop haut
Je n’ai pas réussi à lui trouver défaut
Comme si la vie tentait de prendre exemple d’elle
C’est sûrement pour ça que depuis, la mienne est plus belle
Et que, comme vous le voyez, j’ai retrouvé mes mots
Mais je me garde de rester distant
Je lui laisse la garde du temps
Et j’ouvre peu à peu la porte du bonheur
Gravant les heures au plus profond de mon coeur